T'es tannée de la routine du 9 à 5 et tu cherches quelque chose qui te laisse plus de liberté? Tu aimerais trouver une carrière où tu peux gérer ton horaire, travailler de la maison et décider des projets sur lesquels tu mets du temps? Stay tuned, je te montre comment devenir adjointe virtuelle et démarrer ta propre entreprise.
Une adjointe virtuelle, c’est quoi?
Dans le jargon, une adjointe administrative virtuelle – ou une AV – c’est une personne qui fait des mandats de gestion administrative à distance. Une adjointe virtuelle fait la même chose qu’une adjointe en présentiel, mais elle travaille de chez elle, à son compte, pour plusieurs clients.
Autrement dit, une adjointe virtuelle est le bras droit des entrepreneurs. Elle épaule et assiste ses clients dans la croissance de leur entreprise, sans toutefois être sur le payroll puisqu’elle est travailleuse autonome.
Être travailleuse autonome, qu’est-ce que ça implique?
Être travailleuse autonome signifie que tu es ton propre « employeur ». Tu ne peux pas comparer travail autonome et salariat puisque ce sont deux statuts complètement différents.
En créant ton entreprise et en devenant adjointe virtuelle, tu t’autorises une liberté infinie. En d’autres mots, tu bâtis ta carrière de A à Z en travaillant quand tu le souhaites, d’où tu veux et en fixant toi-même tes tarifs.
Pour plusieurs adjointes virtuelles, le travail autonome est synonyme de :
- Liberté d’horaire (heures et journées)
- Liberté financière (plus de revenus et aucun plafond salarial)
- Liberté de choix (clients, mandats, collaborateurs, etc.)
Plusieurs préjugés associés au travail autonome sont totalement faux. Contrairement à ce que pensent de nombreuses personnes, tu peux facilement établir un cadre pour démarrer ton entreprise et obtenir de nouveaux clients sans être complètement perdue.
Formations pour adjointe virtuelle :
2 solutions chez Virtuelle & Co.
Tu te demandes si t'as besoin d'un diplôme pour devenir adjointe virtuelle? La réponse est simple : pas du tout! Ce qui compte, c’est ton expertise et tes compétences. C'est pas le papier que tu as accroché au mur qui t’aidera à te démarquer, mais ce que tu es capable de faire.
Cela dit, tu trouveras plusieurs formations en ligne pour démarrer ton entreprise plus facilement. Chez Virtuelle & Co., on propose deux solutions pour bâtir ta carrière en misant sur tes champs d’intérêt et tes forces sans devoir retourner sur les bancs d’école durant plusieurs années.
STEP IN
STEP IN, c’est la formation pour partir du bon pied et éviter les erreurs de parcours. Elle te donnera la confiance pour te lancer. Tu apprendras à ton rythme, sans devoir faire des choix impulsifs ou t’inquiéter de l’inconnu.
Le principal avantage de cette formation pour adjointe virtuelle? Les outils de travail. Car si tu ne le sais pas déjà, tu verras qu’il en existe des centaines dans le monde virtuel – et qu’ils ne sont pas tous pertinents! Dans STEP IN, tu pourras te concentrer sur ceux qui ont le potentiel de te faire avancer en mode fast forward et faciliter ton quotidien.
L’OPEN CLASS
Prête à passer au next level? L’OPEN CLASS est pour toi! Cet accompagnement intensif et personnalisé de 12 semaines te guidera pas à pas pour réaliser ton projet et devenir adjointe virtuelle à temps plein, sans l’angoisse et l’incertitude.
L'OPEN CLASS – aussi disponible en formule Evergreen – c'est le levier qui te permettra de propulser ton entreprise au-delà des limites que tu pensais infranchissables. Offre de service, pricing, branding, recherche de clients, création de contenu : tu découvriras tout ce qu’il faut savoir pour vivre de ta business à 100 %.
Comment devenir adjointe virtuelle :
5 étapes essentielles
Tu es prête à te lancer, mais tu ne sais pas par où commencer? Pas de problème, on va décomposer ça en cinq étapes faciles. First thing first, ce qui t’aidera à devenir adjointe virtuelle c'est de poser les bonnes questions pour mieux planifier.
1. Définir ton projet
Avant de plonger tête première, prends un moment pour réfléchir à ton projet. C’est la première étape pour rocker le lancement d’une entreprise en ligne :
- Comment veux-tu que ton projet évolue dans les prochains mois?
- Avec quels types de clients aimerais-tu travailler?
- Quels sont les secteurs d’activité qui te passionnent?
2. Identifier tes objectifs et ta vision
Définir tes buts en tant qu’adjointe virtuelle, c’est la base. C’est comme pour le reste, si tu ne sais pas où tu t’en vas, ça va être pas mal plus tough d’y arriver!
Pense à tes objectifs financiers, oui, mais aussi à ton horaire idéal, aux tâches que tu veux faire et à la mission de ton entreprise. Avoir une vision claire à long terme t’aidera à avancer et à devenir une adjointe virtuelle qui rocke.
3. Définir ta clientèle cible
Ben oui, encore le fameux client idéal! Si tu en entends autant parler, c’est parce que c’est vraiment important – même si c’est difficile à définir et que ça ne te tente pas!
N’oublie pas que le client idéal, c’est pas juste une question démographique; c'est aussi un exercice pour comprendre sa réalité et ses défis. Besoin d’un coup de main? Pense à une personne que tu aimerais aider. C’est ce type d’entrepreneur que tu viseras dans ta stratégie marketing et ta création de contenu en tant qu’adjointe virtuelle.
4. Déterminer ton offre de service
Ton offre de service devrait refléter à la fois ce que tu aimes faire et ce que tu fais bien.
Garde en tête que ce que tu proposes doit répondre aux besoins de ton client idéal. C’est en alignant tes compétences avec sa réalité que tu deviendras une solution incontournable et que tu pourras obtenir des clients facilement.
5. Faire de l'introspection
En tant qu’adjointe virtuelle, ta vie professionnelle est le reflet de qui tu es. Tes forces, tes connaissances et ta vision sont les bases de ton entreprise. Plus tes valeurs et tes objectifs seront alignés, plus ta business te ressemblera et correspondra à tes aspirations.
Devenir adjointe virtuelle à temps partiel, c’est possible?
Tu peux facilement devenir adjointe virtuelle à temps partiel pour commencer. En fait, c’est un mythe de penser qu’il faut tout lâcher d’un coup pour réussir. La vérité, c’est que ça dépend de ta personnalité et de ta tolérance au stress.
Choisir en fonction de ta personnalité
Si tu es du genre à rester zen et efficace sous pression, faire le saut à temps plein pourrait être une bonne option. Mais si tu es de celles qui préfèrent prendre moins de risques et y aller graduellement, alors le temps partiel est probablement une meilleure solution.
Peu importe ton choix, l’essentiel c’est d’être dans l’action. Que tu préfères travailler quelques heures par semaine ou full time sur ton projet, l’essentiel est de progresser vers tes objectifs.
Savoir gérer ton temps
Pour devenir une adjointe virtuelle qui vit à 100 % de sa business, pense à ton projet d’un point de vue mathématique.
Si tu commences à temps plein, tu auras environ 40 heures par semaine à consacrer à ton entreprise. À l’inverse, si tu te lances à temps partiel, tu devras conjuguer ton emploi actuel et ton projet en réalisant une transition pour diminuer tes heures salariées et augmenter le temps que tu accordes à ta business.
Tu es la seule à savoir si c’est le bon moment pour faire le saut, mais ne te laisse pas influencer par la peur ou l’inconfort. L’important, c’est de faire un choix qui te convient.
Que tu sois déjà en train d’aménager ton bureau à la maison ou que tu te demandes encore si c'est la bonne voie pour toi, rappelle-toi que tu détiens toutes les clés pour créer ton entreprise d’adjointe virtuelle.
Devenir adjointe virtuelle, c'est une avenue qui te donne le contrôle sur tes heures de travail, tes clients et les projets auxquels tu participes. Inutile de suivre plusieurs années de formation pour te lancer. Ce qui compte vraiment, c’est tes compétences, ta capacité d’offrir des services A1 et la manière dont tu réponds aux besoins de ta clientèle, that’s it!
Je vais te le dire sans détour : je ne pense pas que les sites web pour pigistes vont te permettre de trouver des mandats d’adjointe virtuelle intéressants. En fait, c’est plutôt le contraire!
Souvent, les filles qui se lancent en affaires croient que ce genre de plateforme est un bon point de départ pour acquérir des clients assez facilement. Been there, done that! Mais avec du recul, je réalise que ça revenait à devoir payer pour obtenir du travail.
Payer pour trouver des mandats d’adjointe virtuelle, really?
Selon moi, il y a deux gros problèmes avec ce genre de site :
- Tu dois payer un abonnement pour chercher des mandats d’adjointe virtuelle.
- Tu vas être tentée de sous-facturer pour attirer l’attention des « magasineux de prix ».
Autrement dit, ça revient à dire que tu dois sortir du cash de tes poches pour essayer d’en gagner : c’est un non-sens! Même si l'on parlait d’un emploi comme salariée dans une entreprise ou d’une autre niche dans l’industrie virtuelle, qui paie pour travailler?
Le pire, c’est que même si un mandat t’intéresse, tu n’auras probablement pas l’occasion d’échanger avec le client pour voir si c’est un bon fit parce que tout ce qu’il cherche, c’est le meilleur prix possible. That’s it!
Résultats?
- Tu n’auras pas de contact réel avec ce client-là.
- Tu ne te positionneras pas comme une référence dans ton domaine.
- Tu risques d’être juste un numéro, une adjointe virtuelle parmi tant d’autres ayant répondu à une offre.
Industrie virtuelle : l’humain avant tout!
Je trouve que les sites web pour pigistes dénaturent vraiment le travail que l’on fait comme adjointe virtuelle. Penses-y : dans ta business, le produit, c’est toi! Tu es ton entreprise. Tu représentes tellement plus qu’un prix ou une offre de service. Tu es une personne avec des connaissances, des skills et une approche uniques.
You know what? L’inverse est aussi vrai : chaque client est différent. Et si tu tombes sur une personne avec qui tu n’as pas envie de travailler? Je te le répète : les sites web pour pigistes sont remplis de prospects qui cherchent seulement à payer le moins cher possible. Ils n’ont pas nécessairement de reconnaissance pour le métier d’adjointe virtuelle. Attention! Je ne veux pas mettre tout le monde dans le même panier, mais mon expérience sur ce genre de plateforme m’a trop souvent confrontée à cette réalité-là.
Comment décrocher des mandats d’adjointe virtuelle?
Tu veux vraiment trouver des mandats d’adjointe virtuelle qui rockent? Mise sur ta stratégie d’acquisition client. Il n’y a rien comme le marketing authentique pour bâtir des collaborations professionnelles égalitaires.
Je l’ai souvent dit : ton client, ce n’est pas ton boss. C’est ton client. Vous collaborez pour faire avancer son entreprise… et la tienne. Ça doit être une relation win-win, pas une situation où tu te mets à genoux pour obtenir des mandats d’adjointe virtuelle en oubliant tes principes et tes valeurs. Trust me, tu as travaillé trop fort pour te contenter de si peu.
« Être une bonne personne » est un concept qui m’obsède! Pour moi, il n’y a qu’en faisant de son mieux, en cherchant toujours à s’améliorer et en ayant de bonnes intentions que l’on peut vivre dans l’abondance.
Aujourd’hui, j’ai le goût de te partager un truc qui m’est arrivé back in the days dans mon premier cours de philosophie au cégep; je te le raconte pour te faire réfléchir sur le concept.
Ready?
Qui a tort? Qui a raison?
J’assiste à mon premier cours de philosophie à vie et le prof nous présente la situation suivante : « Vous vous promenez dans la rue et trouvez un portefeuille. Il contient l’équivalent d’un mois de loyer en argent comptant et les cartes d’identité de son propriétaire. Personne ne vous a vu. Qu’est-ce que vous faites? »
Selon moi, dans cette situation, trois réponses sont possibles :
- Je garde l’argent et je jette le portefeuille
- Je garde l’argent et je remets le portefeuille dans la boîte aux lettres du propriétaire
- Je retrouve le propriétaire et lui redonne son portefeuille avec l’argent
Est-ce que les gens qui prennent les sous sont automatiquement mauvais?
À l’inverse, est-ce que le fait de remettre l’argent fait nécessairement de nous une meilleure personne?
Être une bonne personne : quelle est ta vérité?
Tu te demandes ce que j’ai répondu? La question à te poser en ce moment, c’est plutôt : « Qu’est-ce que moi j’aurais fait? »
You know what? Il n’y a pas de bonne réponse à cette mise en situation. Pourquoi? Parce que tout est bien et tout est mal à la fois. Même si la majorité des personnes ont répondu que c’était mal de garder l’argent, ce n’est pas une réalité absolue. C’est leur vérité. Tu me suis?
Comme toi, possiblement, j’aurais rendu le portefeuille à son propriétaire. Mais ce n’est pas ça le point. Ce n’est pas la raison pour laquelle être une bonne personne m’obsède. Ce qui me fait capoter, c’est qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise option : tout dépend de notre perception des choses.
Même si la situation de départ semble très simple, elle contient une foule d’autres questions :
- Que vit chaque personne?
- Qui a le plus besoin de cet argent?
- Qu’est-ce que je ferais avec cette somme-là?
Être une bonne personne ne veut pas nécessairement dire de rendre ce qui ne nous appartient pas – aussi bizarre que ça puisse paraître. Bref, le concept mis en lumière dans cette situation, c’est que chacun bâtit sa propre vérité. Chacun vit sa vie selon sa vision des choses et crée sa chance, d’une certaine manière.
Puissant, hein?
Et comme entrepreneure, ça veut dire quoi?
Là, tu dois te demander où je m’en vais avec mes skis. Wait, j’ai gardé le meilleur pour la fin!
Si en lançant ta business d’adjointe virtuelle tu crois que tu vas connaître le succès, alors ça deviendra ta vérité. Et si, à l’inverse, tu penses que tu vas te planter, tu en feras également ta réalité. Autrement dit, aussi bien te lancer sans avoir de plan B!
Tous les jours, tu bâtis ta vie en fonction de qui tu es. Laisse-toi guider par tes valeurs et celles que tu souhaites transmettre. Après tout, être une bonne personne, ça transparaît surtout dans nos actions!
J’entends souvent des trucs qui n’ont pas de sens comme : je suis adjointe virtuelle, mais je ne m’occupe pas de ma présence en ligne et je ne veux pas de compte Facebook.
Sorry, not sorry, mais ça ne sera pas possible!
Un cordonnier mal chaussé, really?
Dans « adjointe virtuelle », il y a l’adjectif « virtuelle », right? Comme l’essentiel de ta business se passe sur le Web, ta présence en ligne doit être su’a coche! Pas l’choix, pas l’choix.
Autrement dit, c’est exactement la même chose que si tu avais une boutique avec pignon sur rue, mais que tu n’étais jamais là. Si tu n’es pas présente, ça revient à dire que tu ne t’en soucies pas. On a un problème!
Les adjointes virtuelles que je coache me sortent souvent le classique : « Je suis un cordonnier mal chaussé. Je m’occupe des trucs de mes clients, mais les miens passent toujours en dernier. » Trust me, agir comme ça, c’est comme se faire hara-kiri. Et ça, c'est douloureux! D’ailleurs, je vais te le dire sans détour : le manque de temps, je n’y crois pas!
Tu veux être prise au sérieux?
Est-ce que j’ai envie de confier mes réseaux sociaux, ma comptabilité ou ma révision de textes à quelqu’un qui ne prend pas soin de sa propre business? Non! Ton entreprise, c’est comme ton bébé; si tu t’occupes juste de celui des autres et pas du tien, ça a l’air louche. Ben c’est la même chose pour ta présence en ligne.
Si tu veux que tes prospects te prennent au sérieux, tu dois d’abord veiller à tes affaires. Et pour ça, avoir une bonne présence en ligne est essentiel. T’es pas obligée d’avoir de super connaissances en marketing ni des skills en gestion de réseaux sociaux. Il faut juste que tu aies une stratégie de contenu solide, que tu sois structurée et que tu fasses preuve de constance dans tes publications. That’s it!
What’s next?
La prochaine étape : connaître la problématique de ta clientèle. Plus tu vas être à l’affût des défis que rencontrent tes clients, plus ce sera facile d'avoir le même langage qu’eux et de t’assurer qu’ils se reconnaissent dans le contenu que tu publies.
Pis je te rappelle que si tu fais juste parler de toi, on n’est pas d'avance! Ce que ton client idéal veut, c’est trouver des solutions à ses problèmes, pas apprendre ta nouvelle offre de service par cœur. Tu me suis?
Bref, tout ça pour te dire que l’excuse du cordonnier mal chaussé ne t’aidera pas à propulser ta business on top. C’est simplement une défaite pour ne pas t’occuper de ta présence en ligne. Je l'sais, tu l'sais, tout l'monde le sait!
Et si j’ai réussi à te donner le coup de pied dont tu avais besoin pour passer à l’action, tu peux commencer par consulter un autre article de blogue qui présente la règle du 80/20. Tu découvriras comment te lancer dans la création de contenu en mode fast forward.
Je suis convaincue que tu as déjà entendu cette phrase-là lors d’un appel découverte avec un client potentiel : « Je n’ai pas d’argent! » On ne peut blâmer personne; c’est totalement légitime comme objection parce que souvent, c’est vrai.
Dans cet article, je te montre comment faire face à cette excuse-là pour propulser ta business on top et obtenir des clients plus facilement. Tu verras aussi comment démontrer à un prospect tous les avantages de travailler avec une adjointe virtuelle.
Deviens indispensable!
Tout se passe en amont. Si un client potentiel sort la fameuse excuse « Je n’ai pas d’argent » pour ne pas retenir tes services, c’est parce qu’il n’a pas réalisé la valeur que tu peux lui apporter. En fait, c’est simple : travailler avec une adjointe virtuelle doit être perçu comme un élément essentiel à la croissance de son entreprise. That’s it!
Si tu es en mesure de proposer une solution concrète et que tu en démontres les avantages par rapport aux économies d'argent, de temps et d’énergie, ton prospect n’aura pas d’autre choix que de voir ta collaboration comme un investissement. Mais pour y arriver, tu dois lui faire réaliser tout ça.
Right, mais comment?
Et si l’on inversait les rôles?
Si aujourd’hui je te demande : « Est-ce que tu as 1 000 dollars? », il y a de grosses chances pour que tu me répondes : « Ça dépend pourquoi, il faudrait que je regarde mon budget. » Et c’est tout à fait compréhensible.
Mais si ton téléphone cesse de fonctionner et que tu te retrouves soudainement sans cellulaire, je mets ma main au feu que tu vas trouver le moyen d’en acheter un nouveau avant la fin de la journée. Pourquoi? Parce que pour toi, il est essentiel. Autrement dit, il te permet de communiquer avec les gens, incluant tes clients : t’en as besoin.
Ça doit être la même chose quand tu essaies de démontrer à un prospect les avantages de travailler avec une adjointe virtuelle!
Si tu veux que tes services soient perçus comme étant incontournables, tu dois :
- Te démarquer de la concurrence
- Te positionner comme une référence dans ton domaine
- Démontrer à ton client que tu vas l’aider à atteindre XYZ
- Régler un problème qui est souffrant ou qui fait perdre de l’argent à ton prospect
Entre toi pis moi, le budget, on peut toujours le trouver quand on désire vraiment quelque chose ou qu’on en a besoin.
Tu veux un vrai game changer?
Démontrer les avantages de travailler avec une adjointe virtuelle à un client potentiel ne devrait pas être un pain in the ass : suffit de rester authentique et de voir si c’est un bon fit. Si tu penses que oui, tu te positionneras facilement comme une alliée et tu prouveras que tu es la meilleure personne pour l’aider à atteindre ses objectifs. Si tu réussis à faire ça, tu ne seras plus jamais confrontée à la fameuse excuse : « Je n’ai pas d’argent. »
By the way, ne laisse pas ton manque de confiance ou ton syndrome de l’imposteur t’amener à revoir tes tarifs à la baisse ou douter de ta valeur. Toutes les adjointes virtuelles ont déjà entendu cette objection-là. L’important, c’est d’être capable d’apprendre de ça et de corriger ton approche pour driver ta business like a boss!
Tu veux te lancer à ton compte et vivre à 100 % de ton entreprise, mais tu ne sais pas par où commencer. Je vais peut-être te décevoir, mais il n’y a pas de réponse magique qui fonctionne pour tout le monde.
Attends, garde tes roches dans tes poches! J’ai quand même une piste pour toi. Je vais te révéler LA question que tu dois te poser pour rocker le lancement d’une entreprise en ligne.
Ready?
Comment vois-tu ton avenir?
Selon moi, la chose que beaucoup d’adjointes virtuelles oublient de faire – mais qui est tellement importante – c’est de se projeter dans le futur. Quand on est salariée, on est souvent dans le day-to-day. On prend rarement le temps de se demander :
- Est-ce que j’aime ce que je fais?
- Est-ce que je me sens bien dans mon environnement de travail?
- Est-ce que je pourrais faire d’autres choix?
Nenon, on fait ce qu’on nous dit et c’est tout.
Mais quand on devient entrepreneure, la game est complètement différente! On a vraiment le pouvoir de bâtir la vie qu’on désire. Trust me, les possibilités sont infinies.
Ma question pour toi : comment vois-tu ton avenir? Si tu envisages le lancement d’une entreprise en ligne sans avoir réfléchi à ça, tu risques de foncer dans un mur. Autrement dit, tu iras dans toutes les directions sans connaître ton WHY professionnel.
C’est le temps de définir ta dream job!
Quand on envisage le lancement d’une entreprise en ligne, c’est souvent pour répondre à nos propres besoins ou à ceux de notre famille. On veut s’assurer que personne ne manque de rien. Mais une fois que ces besoins-là sont comblés, what’s next? Selon moi, c’est là que le vrai fun commence parce que tu peux avoir de l’impact en contribuant à une industrie beaucoup plus grande que toi.
Si l’on revient à la base, qu’est-ce que tu as envie de faire de ta vie? En fait, c’est pas mal comme essayer de trouver le bon chum : on ne sait pas toujours ce que l’on veut, mais on sait en es** ce qu’on ne veut pas! Et pas besoin de t’arracher les cheveux. Tu peux simplement faire une liste des choses que tu aimes et que tu n’aimes pas faire en fonction de tes compétences :
- « Ça, j’adore ça. »
- « Ça, j’aime moins ça. »
- « Ça, je hais ça pour mourir. »
De cette façon-là, tu trouveras ton sweet spot! L’équilibre parfait entre ce qui te fait tripper et tes skills. Bref, tu identifieras les zones dans lesquelles tu rockes vraiment pour propulser ta business.
Pense à long terme
Pour réussir le lancement d’une entreprise en ligne, tu dois penser à long terme :
- Où te vois-tu dans un, deux, trois ou même cinq ans?
- Veux-tu voyager ou travailler de la maison pour profiter du temps avec tes enfants?
- Quel est ton horaire idéal?
- Que veux-tu faire de tes journées?
- Quels sont tes plus grands rêves?
- Quels problèmes veux-tu résoudre?
- Qui veux-tu aider?
Ces questions-là sont à la base de l’entrepreneuriat. En y répondant, tu détermineras les prochaines étapes à franchir pour devenir adjointe virtuelle sans avoir de plan B. Il n’y a aucune barrière devant toi. Tu n’as qu’à définir dans quoi tu es bonne et ce qui te drive. Mon meilleur conseil : fais des choses que tu aimes avec des clients qui te font tripper. That’s it!
Envie de rocker ton marketing sur les réseaux sociaux? J’ai un truc bien simple à te montrer pour faire de la création de contenu web en mode fast forward.
Prête? Follow the leader!
La règle 80/20
Ça, c'est la loi de Pareto – ce n’est aucunement pertinent pour la suite, je veux seulement pluguer que je connais des affaires vu qu’on s’en sert dans plusieurs domaines! La règle 80/20 est super simple et peut vraiment t’être utile dans ta création de contenu web.
Quand je parle de marketing sur les réseaux sociaux, je dis toujours aux adjointes virtuelles que je coache : « Arrête de parler de ton offre! » Le hic, c’est que je me fais souvent répondre : « Ouais, mais comment vendre mes services en ligne si je n’ai pas le droit d’en faire la promotion? »
Excellente question!
Dans ta création de contenu web, tu dois respecter la règle 80/20, c’est-à-dire que tu dois donner de la valeur 80 % du temps. Après, tu parleras d’autres choses! Tu dois montrer à ta clientèle que tu es crédible. Et pour gagner sa confiance, rien de mieux que des trucs concrets à utiliser right now.
Quand parler de mes services d’adjointe virtuelle?
Si tu veux faire connaître tes services d’adjointe virtuelle, il te reste 20 % de tes publications pour le faire! Petite mise en garde par contre : fais attention de ne pas spammer ta clientèle. Bref, évite de mettre ce que tu offres ou ce que tu fais directement dans la face de tes clients – c’est tellement agressant!
Pour que ça marche vraiment, tu dois enrober tout ça! Autrement dit, prends le temps de soulever un irritant ou un problème réel et propose une solution. Ne perds jamais de vue que ton prospect, lui, cherche une façon de progresser.
Crée du contenu web de fuego!
Quand tu réfléchis à ton marketing sur les réseaux sociaux, essaie de faire ressortir les éléments qui résonneront au sein de ta niche marketing. En lisant tes publications, tes futurs clients doivent se dire : « Yesss, c’est exactement ça! Elle me comprend trop bien, je veux absolument travailler avec cette fille-là. »
On s’entend, tu passes à côté de la cible si tu fais juste dire des choses du genre :
- « Les 3 principaux avantages d’engager une adjointe virtuelle »
- « 5 bonnes raisons de déléguer vos tâches administratives »
- « Pourquoi faire affaire avec moi? »
Dans ces cas-là, tu ne réponds pas à un besoin, tu fais juste flasher ton offre de services. Pour driver ton marketing sur les réseaux sociaux, tu dois faire la transition du problème vers la solution. Il faut que ta clientèle se reconnaisse dans tes publications et pour y arriver, ton contenu doit être parfaitement adapté à ton client idéal. Il y a seulement comme ça que tu seras capable de le rejoindre… et la clé, c’est la règle 80/20.
Let’s do this!
Se comparer aux autres, c’est tellement facile, non?
Tu sais :
- Regarder le site web de plusieurs adjointes virtuelles
- Analyser ce qu’elles partagent sur les réseaux sociaux
- Décortiquer leur offre de service
- Essayer de trouver ce qu’elles ont de plus que toi
Ce qui me fait rire avec l’idée de se comparer aux autres, c’est qu’on croit toujours le faire avec des personnes que l’on évalue comme étant plus avancées que nous – pis je m’inclus là-dedans. C’est très rare qu’on regarde ailleurs et qu'on se dise : « Bah! Je suis vraiment meilleure ». No way, ça n’arrive jamais!
« Ce que les autres font ne diminue en rien ma valeur »
Il faut cesser de scruter dans les moindres détails ce qui se passe ailleurs en pensant que c’est tellement mieux que ce que l’on fait. C’est juste un cercle vicieux qui ne mène à rien!
Pour changer de mindset, je me répète souvent : « Ce que les autres font ne diminue en rien ma valeur ». Autrement dit, ça ne m’enlève rien. Même chose pour le voisin : ce n’est pas parce qu’il a un gros char de l’année que ça change quelque chose à ta situation.
2 trucs pour arrêter de se comparer aux autres
1. Sois fière
Quand tu vois des adjointes virtuelles réussir, soit fière d’elles. Regarder le parcours d’entrepreneurs à succès peut être un puissant moteur pour rocker ta business. Si tu poses des actions concrètes, que tu fais preuve de discipline entrepreneuriale et que tu focusses sur le positif, tu connaîtras le succès, toi aussi. Alors, réjouis-toi de celui des autres en attendant ce jour-là.
2. Inspire-toi
Autre chose pour t’aider à mettre fin à la comparaison : remplace-la par de l’inspiration. Abonne-toi aux comptes des entrepreneurs qui t’inspirent. Pas ceux qui ont l’air hors de portée; ceux qui te ressemblent et qui te donnent envie de te dépasser. Utilise ça comme carburant pour booster ton entreprise. En décortiquant leur processus, tu te rendras compte qu’il y a peut-être des choses que tu fais déjà et qui correspondent à tes critères de réussite. Résultat? Un jour, le succès de cette personne-là sera le tien.
Si tu ne prends pas le temps de t’inspirer au quotidien, tu laisseras place au doute et à l’anxiété. Et c’est en plein le genre de choses qui peuvent freiner la croissance de ton entreprise. Comme travailleuse autonome, tu es souvent dans ta tête, mais regarder ce qui se fait autour de toi t’aidera à propulser ta business on top.
Se comparer aux autres, ce n’est pas que négatif. Ça peut aussi te permettre d’élargir tes horizons pour créer ton emploi d’adjointe virtuelle et bâtir la vie dont tu rêves. Et pour les jours où ce sera plus difficile, souviens-toi de ça : ce que ton voisin possède ne diminue en rien qui tu es ni ce que tu fais.
Connais-tu la différence entre les besoins d’un client et ce qu’il veut vraiment?
Même si à première vue on pourrait penser que c’est pareil, ce n’est pas le cas. Il y a une nuance extrêmement importante entre les deux concepts. Et c’est précisément ce qui différenciera une stratégie de niche marketing qui fonctionne d'une autre qui en arrache!
LA chose à savoir : ce que ton client veut
Comme adjointe virtuelle, tu détiens la solution aux problèmes de ton client potentiel. Résultat? Tu auras souvent tendance à mettre en lumière ce dont il a besoin. Attention! C'est une erreur qui te fera perdre beaucoup d'opportunités et qui ne t’aidera pas à vendre tes services en ligne.
Pourquoi? Parce que ton travail c'est de lui parler de ce qu’il veut! Règle générale, ton prospect n’est pas conscient de ce dont il a besoin, mais il connaît très bien ses désirs. Autrement dit, lui rappeler ses besoins, c’est essayer d’avoir une conversation à propos de quelque chose qui ne l’intéresse pas.
Probablement que ton client potentiel aurait tout avantage à collaborer avec toi, mais comment le savoir? Il focusse sur ses problèmes et leurs impacts sur sa business. Et parfois, il n’en est même pas conscient à 100 %, imagine!
Mon conseil : mets en lumière ce que ton prospect veut vraiment. Démontre-lui en quoi travailler avec toi l’aidera à atteindre ses objectifs plus facilement et plus rapidement.
Tu veux vraiment collaborer? Vas-y all in!
Trust me, tous les entrepreneurs parlent le même langage! Pour rocker ta business, tu devras leur prouver que tu peux les aider à atteindre le next step :
- Plus de ventes
- Plus de revenus
- Plus de clients
- Plus de visibilité
Ce sont des éléments qui sont calculables, quantifiables et faciles à visualiser.
Pour un entrepreneur, collaborer avec une adjointe virtuelle, c’est un moyen d’atteindre ces objectifs-là. Si tu lui dis : « Voici les avantages de travailler avec moi », tu t’adresses directement à ses besoins. Et tu sais maintenant que ce n’est pas ce qu’il veut entendre. Tu me suis?
Ce que ton client souhaite, c’est :
- Sauver du temps
- Multiplier son chiffre d’affaires
- Augmenter sa clientèle
- Faire croître son entreprise
Ta job, c’est de lui montrer comment tout ça devient possible en t’ajoutant à son équipe.
Envie : travailler 10 heures par semaine de moins
Besoin : automatiser certaines tâches administratives et déléguer
Envie : obtenir plus de clients et augmenter ses revenus
Besoin : gérer le service à la clientèle, assurer une présence en ligne et alimenter ses réseaux sociaux
Vois-tu la différence? La ligne est mince, mais elle est importante! Si tu veux t’assurer de rejoindre ton client idéal, tu dois absolument faire la distinction entre les deux. Et c’est ce qui te permettra d’orienter ton pitch de vente ailleurs que sur les besoins d’un client.
Fais-moi confiance, ce nouveau mindset sera un vrai game changer pour ta business!
Si tu as des enfants, tu vas très certainement te reconnaître dans ce qui suit. Le jour où tu deviens mère, tu fais la rencontre de ton bébé – allô, l’évidence! – et d’un sentiment que tu avais peut-être rarement ressenti auparavant, mais qui va t'habiter pendant toute ta parentalité : la culpabilité.
Tu vas vouloir t’assurer que :
- Tu es présente à 100 % pour ton enfant.
- Tu lui donnes tout ce dont il ou elle a besoin.
- Tu prépares des repas sains.
- Tu prends suffisamment de temps pour jouer avec lui ou elle.
- Tu appliques les meilleurs principes de la parentalité positive.
- Tu es toujours là pour écouter, cajoler et consoler.
Et si tu es mompreneure – sorry, not sorry – mais cette culpabilité-là va continuer de te suivre même si tu lâches ta job de salariée.
Devenir maman entrepreneure : un vrai life changer
La plupart des filles que je coache pour devenir adjointe virtuelle me disent qu’elles veulent démarrer leur business pour concilier travail et vie personnelle plus facilement. L’affaire, c’est que jongler entre un congé de maternité ou une job temps plein et le lancement de ton entreprise, c’est une méchante game. Et des fois, ce sera au détriment du temps de qualité avec tes enfants…
Dit comme ça, ça ressemble moins à un monde de licornes, mais oser entreprendre, c’est un vrai life changer à moyen et long terme : il faut juste que tu te lances all in!
À quoi ressemble ta liste de priorités?
Devenir maman entrepreneure, ça implique aussi qu’à travers tout ça, tu vas avoir besoin de moments juste pour toi – sans penser à ta business ou t’occuper de tes kids. Inévitablement, tu ne sais pas où tu vas mettre ça dans ton horaire parce que tes enfants sont ta top priority.
Ensuite, tu risques d’inscrire ton entreprise sur ta liste parce que c’est ce qui va te permettre de gagner un salaire d’adjointe virtuelle qui a de l’allure et d’avoir le style de vie dont tu rêves. Ah! Pis je ne t’ai même pas encore parlé d'où tu vas trouver le temps pour ton chum ou ta blonde, tes parents et tes amis.
Tu me vois venir? La dernière chose au bas de ta to-do list, ce sera les moments pour toi… parce que sinon, tu vas te sentir coupable. Ce qu’on ne te dit pas quand tu te lances comme maman entrepreneure, c'est que le me time est full important. Chaque fois que tu sors prendre une marche ou que tu te paies une journée au spa, tu prends une bonne décision. Ce sont ces moments-là qui font de toi une bonne mère et une meilleure mompreneure.
Garde ton réservoir plein
Je te fais un parallèle avec une voiture : si ton auto n’a plus d’essence, elle n’avancera pas. Right? Tu auras beau t’acharner, elle n’ira nulle part! C’est exactement la même chose pour toi. Quand tu t’accordes du me time, tu fais le plein. Et ça, tu en as besoin pour devenir la mompreneure que tu veux être.
La morale de l’histoire? Mets-toi en priorité de temps en temps. Ce sera plus facile d’être présente à 100 % pour tes enfants. Et c’est sans parler de ta motivation au travail qui va augmenter, elle aussi. Mais pour ça, tu dois passer par-dessus ta culpabilité.
Tu es la ressource la plus importante de ta business et un pilier pour ta famille. Si tu veux être une meilleure personne, une meilleure mère, une meilleure entrepreneure, tu dois prendre soin de toi.
J’ai une petite mise en garde pour toi aujourd’hui : fais attention aux agences d’adjointes virtuelles. Je ne dis pas qu’elles sont mauvaises – au contraire, il y en a de très bonnes –, mais elles sont plutôt rares.
La raison? La plupart des agences vont offrir une rémunération qui est moindre que celle que tu pourrais demander en solo puisqu’elles s’occupent de l’acquisition de clients. Bref, c’est un peu comme si tu changeais quatre trente sous pour une piasse en redevenant employée, mais sans les avantages d’être à ton compte!
Non seulement ce n’est pas winner pentoute, mais en plus, ça ne te permettra pas de faire de l’argent comme adjointe virtuelle.
Travailleuse autonome ou salariée : méchante différence!
Si tu souhaites obtenir un salaire intéressant comme travailleuse autonome, tu auras à générer plus de revenus bruts parce que tu devras soustraire différentes charges de ta rémunération, comme ta cotisation à la RRQ et à la RQAP. Ce n’est pas le cas lorsque tu es salariée, puisque c’est ton employeur qui en a la responsabilité. Si je te dis ça, c’est parce que les agences d’adjointes virtuelles s’approchent plus du modèle employé employeur.
Ta rémunération comme adjointe virtuelle doit avoir de l’allure!
Il arrive parfois que certaines agences d’adjointes virtuelles m’approchent pour être mises en contact avec des filles de l’OPEN CLASS.
Lorsque ça arrive, la première chose que je cherche à savoir, c’est leur méthode de rémunération. Crois-le ou non, ce n’est pas rare qu’on me réponde quelque chose du genre : « On paie les filles entre 16 $ et 18 $ de l’heure. » Et là, je pose la question qui tue : « Est-ce qu’elles sont salariées? » Si l’on me répond qu’elles sont toutes travailleuses autonomes, c’est le coup de barre qui met fin à la conversation.
Tu me trouves intense? Penses-y, comme travailleuse autonome, tu dois mettre de côté de 30 % à 40 % de tes revenus bruts pour tes impôts et diverses cotisations. Fais le calcul rapidement : si l’on te propose un taux horaire de 16 $, il ne t’en restera pas gros dans tes poches!
Quand je mentionne aux propriétaires d’agences d’adjointes virtuelles que ça n’a pas de bon sens, on me répond : « Oui, mais les filles ne paient pas beaucoup d’impôts! » C’est évident, moins tes revenus sont élevés, moins tu paies d’impôts!
En bas de 40 $ de l’heure, ça marchera pas!
Quand tu n’es pas responsable de l’acquisition de clients, c’est normal que ta rémunération soit un peu moins élevée. Mais quand on parle d’un taux horaire qui est inférieur à 40 $, c’est inacceptable.
Avec une bonne stratégie d’acquisition clients, je te jure que tu pourras facilement relever le défi par toi-même, sans devoir négocier avec une agence d’adjointes virtuelles – et c’est d’ailleurs l’une des choses que j’enseigne dans l’OPEN CLASS. Si tu ne veux vraiment pas dealer avec cet aspect-là, reviens à ton pourquoi professionnel – ton WHY – et questionne-toi sur les raisons qui t’ont poussée à démarrer ta business.
Anyway, avant de rejoindre une agence d’adjointes virtuelles, assure-toi d’être rémunérée à ta juste valeur et de ne pas être négligée au profit des clients. Ça peut avoir l’air beau à première vue, mais est-ce que ce sera vraiment payant à long terme?
Voici une question qui m’est souvent posée par les filles qui veulent devenir adjointes virtuelles : « Comment établir ma stratégie de contenu sur les réseaux sociaux? »
Autrement dit, ce que j’entends le plus souvent, c’est : « J’sais pas quoi publieeer! »
On va ramener ça à la base. Avant même de faire quoi que ce soit, tu dois te demander : « Est-ce que j’ai envie d’investir du temps dans ma création de contenu? » Si la réponse est oui, alors ce sera payant… à long terme.
Ready, set, GO!
Et si tu pouvais booster ta stratégie d’acquisition client?
Je te le dis tout de suite : si tu veux que ça fonctionne, tu ne peux pas juste faire des publications pendant une ou deux semaines, puis laisser tomber. Bâtir une stratégie de contenu sur les réseaux sociaux qui rocke, c’est un travail en continu. Donc, je réitère ma question : « Es-tu prête à investir du temps et de l’énergie là-dedans ? »
C’est le one thing que tu dois considérer avant de te lancer, parce que si tu le fais à contrecœur, ça va paraître dans tes posts. Si tu as vraiment envie d’utiliser Facebook ou autre pour booster ta stratégie d’acquisition client, là on est en business!
Comme à l’école : le fond avant la forme
Bâtir une stratégie de contenu sur les réseaux sociaux, c’est exactement comme un cours de français au secondaire : tu dois considérer le fond avant la forme. Ici, je te parle des grands thèmes que tu aborderas pour piquer la curiosité de tes clients.
Voici quelques pistes pour savoir par où commencer :
- Quels sont les sujets dont tu souhaites parler?
- Que veux-tu présenter pour donner de la valeur?
- Quels behind the scenes as-tu envie de dévoiler?
Par exemple, tes piliers pourraient être l’administration, la comptabilité, l’animation de réseaux sociaux, l’organisation, le mindset, etc. Mon truc : avoir plusieurs thématiques différentes et les répartir sur quelques jours en faisant une rotation pour éviter que ce soit redondant.
Ensuite, tu vas t’attarder à la forme, c’est-à-dire à la manière dont tu vas présenter ton contenu.
Est-ce que tu veux :
- Rédiger des articles de blogue?
- Réaliser des capsules vidéo?
- Créer des posts Facebook avec un texte et une image?
- Obtenir des témoignages?
- Faire ressortir des quotes?
- Dévoiler des trucs et astuces?
Quand tu auras déterminé de quelle manière tu veux t’y prendre, tu pourras insérer tout ça dans un beau calendrier de contenu. Ainsi, tu t’assureras qu’il y a un bon roulement dans tes publications. La seule règle du jeu? Toujours respecter tes thématiques.
La cerise sur le sundae : le visuel
Comme ton image de marque est probablement déjà établie, tu n’auras qu’à décliner le visuel de tes posts en cohérence avec celle-ci. Si tu veux te faciliter la vie – et sauver du temps –, tu peux créer quelques templates que tu réutiliseras régulièrement. Ensuite, il te restera seulement à créer du contenu en batch, puis à programmer tes publications.
Ton pire ennemi, c’est l’absence de ligne directrice. Je le sais, on est faites comme ça : une journée, on est super inspirées pis l’autre d’après, c’est mort. En ayant les bons outils et en étant constante, tu te bâtiras une stratégie de contenu sur les réseaux sociaux de feu.
Et n’oublie pas que tes publications te permettent de communiquer avec ta clientèle et de démontrer ta crédibilité professionnelle. Pourquoi passer à côté?